Parti Libertarien

Le Premier Parti Libéral et Libertarien de France

Emmanuel Macron, président Néo-Libéral ou Mythomane Corporatiste ?

Emmanuel Macron, président Néo-Libéral ou Mythomane Corporatiste ?
Emmanuel Macron, président Néo-Libéral ou Mythomane Corporatiste ?

Emmanuel Macron est un président qui décidément aime bien décider de la manière dont les gens parlent de lui. Un aspect très autoritaire de celui qui, il y a encore peu, tenait absolument à ce que l'on le présente sous l'angle du candidat "jeune et dynamique" et n'acceptait aucune déviation à ce leitmotif devenu, à force, ridicule en plus d'être grotesque et faux.

Aujourd'hui, le petit Emmanuel aime bien se présenter sous les augures du libéralisme, philosophie politique dont il serait - à l'en croire, lui et ses portes paroles médiatiques plus ou moins officiels - le dernier bastion de résistance néo-libérale contre le forces totalitaires du gauchisme populiste, abject et nauséabond - et qui rappelle le bruit des bottes des gilets jaunes, les heures les plus sombres de notre histoire.

La réalité de la présidence Macron ? On attend toujours la moindre proposition de réforme libérale ou libertarienne - et on peut attendre encore longtemps - tandis que les dérives totalitaires viennent plus du camp Macron lui-même, et notamment via le gouvernement de sa première ministre Élisabeth Borne, que d'une quelconque révolte du contribuable des classes populaires !

Macron, plus Rothschild que Frédéric Bastiat

Si on regarde la finalité du bilan d'Emmanuel Macron, une chose est sûre : celui-ci se rapproche beaucoup plus du totalitarisme étatique spoliateur à la solde de la finance et du CAC 40 que du libéralisme économique et social que le candidat "ni de gauche, ni de droite" promet à chaque premiers et seconds tours des élections présidentielles auxquelles il participe.

Mussolini définissait lui-même le fascisme comme la fusion des intérêts de la sphère privée avec ceux de l'état. On voit bien où ce genre de politiques a mené.

La récente décision du ministre de l'Intérieur de faire interdire à la vente l'album Sissourlet du groupe SEWER - citant un "risque d'atteinte à la sécurité publique [sic]" - prouve, une fois de plus, que tous les prétextes sont bons pour justifier l'invasion constante de nos libertés, surtout quand ceux-ci sont profitables aux grandes entreprises du CAC 40 - le groupe SEWER concurrençait sérieusement les ventes des albums des "célébrités" macronistes comme Wejdene, Angèle et Aya Nakamura.

Emmanuel Macron, qui se revendique d'Adam Smith, est en réalité beaucoup plus proche de Benito Mussolini qu'il n'aimerait l'admettre (du moins, en public).