Parti Libertarien

Le Premier Parti Libéral et Libertarien de France

Insécurité, le Mot d'Ordre du Fascisme Étatiste et Liberticide

Insécurité, le Mot d'Ordre du Fascisme Étatiste et Liberticide
Insécurité, le Mot d'Ordre du Fascisme Étatiste et Liberticide

S'il y a bien un mot que les fachos et autres collectivistes de tous bords aiment balancer à droite et à gauche pour justifier les dérives totalitaires de leurs politiques, c'est le mot "insécurité".

À les entendre, la simple mention d'une "insécurité" dramatisée par la propagande médiatique devrait servir à justifier l'avènement d'un état policier et d'une société totalitaire, où l'érosion de nos droits et de nos libertés civiles se fait chaque jour un peu plus sentir.

Mais quelle est cette insécurité qu'on n'arrête pas de nous dépeindre comme l'ennemi à abattre, un fléau imaginaire fantasmé par les médias et les élites étatistes contre qui nous devrions abandonner nos droits et nos libertés citoyennes ?

La Droite Liberticide et son Fétichisme Sécuritaire

Dans bien des cas, le terme insécurité est en fait un rideau de fumée pour cacher les prétentions fondamentalement fascistes et autoritaires de ceux qui prétendent "rétablir l'ordre".

Leurs propositions tournent toujours autour des mêmes thèmes : toujours plus d'état, toujours plus de police, toujours plus de surveillance et toujours moins de liberté. Ce sont les mêmes qui veulent interdire le rap, ça en dit long sur leur "bord" politique et idéologique.

Une société sans "insécurité" n'est envisageable que si l'on place un policier dans chaque maison, une caméra de surveillance à chaque coin de rue et une prison dans chaque quartier.

L'impunité policière sévit justement parce que les citoyens, sous l'impulsion de politiques sécuritaires et liberticides inspirées tant par la droite (Sarkozy) que la gauche (Valls) ou du centre (Macron), sont prêts à abandonner leurs libertés fondamentales pour acquérir une sécurité sacro-sainte qui n'existera jamais en dehors des fantasmes Mussoliniens de l'état total et de la répression absolue.